990- L´asthme: Causes, symptômes et traitement naturel de l´asthme

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 Tout sur l´asthme: symptômes et remède naturel

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L´asthme : qu´est-ce que sait?

L’asthme est une maladie inflammatoire chronique des voies respiratoires. Il se traduit par une difficulté respiratoire. Pendant la crise d’asthme, le diamètre des bronches diminue, ce qui entrave la circulation normale de l’air et provoque des expirations sifflantes. L’asthme survient le plus souvent dès l’enfance et  apparait selon un processus qui se déroule en 3 phases.

En premier lieu, l’inflammation s’installe dans le revêtement intérieur des voies respiratoires. Elles enflent, réduisant l’espace destiné à la circulation de l’air. En deuxième lieu, les muscles de la paroi des voies respiratoires se resserrent et réduisent encore davantage le flot de l’air. Enfin, les voies respiratoires répondent à l’inflammation en produisant du mucus qui obstrue les conduits déjà rétrécis

 Les Causes de l´asthme 

L’origine de l’asthme est mal connue, mais elle pourrait être due en partie à l’hérédité. Nos poumons sont sensibles à différents agents, tels que le pollen, la pollution atmosphérique ou les substances chimiques puissantes. En termes simples, les personnes atteintes d’asthme ont des poumons qui sont plus sensibles que la moyenne.

L’asthme est en partie une réponse allergique. Il peut être déclenché par une substance externe qui est particulièrement irritante pour vos poumons. Ces déclencheurs sont souvent de petites particules de protéines appelées allergènes. Certaines personnes sont sensibles à plusieurs allergènes, dont voici les plus courants :

  • les acariens de la poussière domestique;
  • des moisissures;
  •  particules de blattes;
  • les phanères (les poils et les squames) d’animaux;
  • le pollen provenant de graminées, d’arbres et de l’herbe à poux.

Pour d’autres personnes, l’asthme est déclenché non pas par des allergènes qu’elles ont inhalés, mais par des substances qu’elles ont ingérées. En voici quelques exemples :

  • l’acide acétylsalicylique ou AAS* et d’autres anti-inflammatoires;
  • les agents de conservation de certaines denrées ou boissons;
  • des noix ou des crevettes.

Autres indicatifs de l´asthme

Bien que la plupart du temps l’asthme se déclare dans l’enfance, cette affection touche aussi les adultes après une exposition prolongée aux allergènes. Les personnes qui travaillent avec les produits ci-après en courent un plus grand risque :

  • les antibiotiques;
  • le coton et le lin;
  • les détergents;
  • les graines et les céréales;
  • les matériaux d’isolation et d’emballage;
  • les mousses et les peintures.

Des irritants non allergènes peuvent aussi déclencher des crises d’asthme, à savoir :

  • des exercices vigoureux;
  • la fumée et le smog;
  • des infections virales comme le rhume banal ou la grippe;
  • l’inhalation soudaine d’air froid;
  • des odeurs fortes (par ex. les émanations de peinture, les parfums, les produits de nettoyage);
  • un rire aux éclats, des cris à pleine voix ou des sanglots.

Symptômes et Complications

Certains enfants ressentent un picotement à l’arrière du cou juste avant une crise d’asthme. Des personnes observent des signes d’alarme qu’elles peuvent apprendre à interpréter. Parmi les signes avertisseurs, on retrouve la présence d’une douleur à la gorge, de cercles foncés sous les yeux, de fatigue, d’irritabilité ou d’un changement de la couleur du visage.

L’asthme varie aussi en intensité. Les symptômes d’asthme peuvent être toujours présents ou se manifester seulement lors d’une exposition aux allergènes. Quelle que soit la gravité de l’asthme, les symptômes typiques comprennent :

  • un essoufflement;
  • une respiration sifflante;
  • une sensation d’oppression dans la poitrine;
  • une toux.

Dans les cas d’asthme plus grave, ces symptômes peuvent survenir la nuit.

La respiration sifflante est le symptôme d’asthme le plus connu, mais l’expiration de toutes les personnes atteintes d’asthme ne devient pas nécessairement sifflante. Quelques personnes ont seulement une toux, mais elles ne peuvent pas la discipliner.

Une crise d’asthme vraiment grave peut présenter un danger mortel. Même si de l’air parvient au poumon, l’accumulation de gaz carbonique dans le sang peut être mortelle. Si vous ne pouvez pas respirer, ou si c’est le cas pour un membre de votre famille, appelez le 911 ou le numéro d’appel des secours de votre voisinage, surtout si le médicament habituel ne fait pas effet.

Diagnostique

L’apparition de l’un des symptômes précités est une raison suffisante pour consulter votre médecin. Ce dernier passera en revue vos antécédents médicaux et familiaux, il vous posera des questions sur vos symptômes et sur ce qui semble les déclencher. Votre médecin examinera votre nez, il écoutera vos poumons et mesurera leur fonctionnement à l’aide d’épreuves appelées explorations fonctionnelles respiratoires. Il pourrait également suggérer des analyses de sang ou de crachat ou d’autres examens qui permettraient d’écarter la possibilité d’une affection sous-jacente comme une infection de la gorge ou une manifestation de fibrose kystique.

Un allergologue, ou un autre médecin, peut identifier les allergènes déclencheurs de votre asthme en grattant votre peau pour y déposer une minuscule quantité de différents allergènes puis en observant les réactions qu’ils provoquent.

Traitement et Prévention

Il n’existe pas de traitement curatif de l’asthme. Il s’agit d’une affection chronique qui peut durer toute la vie. L’objectif du traitement de l’asthme est d’empêcher le plus possible l’apparition des symptômes asthmatiques pour vous permettre de participer à vos activités habituelles, de réduire l’utilisation des médicaments de secours (à moins de 4 doses par semaine), de ne pas subir de symptômes pendant le jour ou la nuit et d’éliminer l’absentéisme au travail ou aux études provoqué par l’asthme. La plupart des personnes atteintes d’asthme peuvent atteindre cet objectif.

Voici 4 mesures que vous pouvez mettre en vigueur pour traiter l’asthme :

  • Évitez les déclencheurs.
  • Demandez à votre médecin de vous écrire un « plan d’action contre l’asthme ». Ce plan d’action décrit comment évaluer vos symptômes d’asthme et comment prendre vos médicaments pour traiter cette maladie. Il explique également comment savoir si votre asthme s’aggrave et quoi faire dans un tel cas.
  • Si votre médecin vous le recommande, utilisez un médicament de prévention ou de contrôle comme des corticostéroïdes (par ex. de la béclométhasone *, du budésonide, du ciclésonide, de la fluticasone ou de la mométasone) avec ou sans un bronchodilatateur à action prolongée (par ex. le salmétérol, le formotérol), des antagonistes des récepteurs des leukotriènes (par ex. le montélukast ou le zafirlukast) ou des anticorps anti-IgE (par ex. l’omalizumab).
  • Atténuez les symptômes en utilisant des médicaments de soulagement ou de secours comme les bronchodilatateurs à action rapide (par ex. le salbutamol, le formotérol ou la terbutaline).
Les médicaments préventifs de l’asthme

Les médicaments les plus souvent utilisés dans la prévention de l’asthme sont les corticostéroïdes (par ex. la béclométhasone, le budésonide, le ciclésonide, la fluticasone ou la mométasone) qui s’inhalent au moyen d’une « pompe » ou d’un inhalateur. Ils ont été conçus pour réduire l’enflure ou l’inflammation des voies respiratoires. En général, ils font effet après 1 ou 2 semaines de traitement. Les corticostéroïdes ne procurent pas un soulagement rapide des symptômes d’asthme, mais ils permettent de prévenir l’apparition de symptômes ultérieurs. Ils maîtrisent l’inflammation qui est la cause sous-jacente de l’asthme.

Si les corticostéroïdes ne parviennent pas à soulager vos symptômes d’asthme, votre médecin pourrait suggérer l’ajout d’un bronchodilatateur à action prolongée (par ex. le salmétérol, le formotérol) que vous utiliserez en même temps que le corticostéroïde.

Autres traitements médicaux

Certaines personnes pourraient se faire prescrire un antagoniste des récepteurs de leucotriène (par ex. le montélukast, le zafirlukast) pour aider à maîtriser l’asthme. Ces médicaments bloquent l’action d’une substance qui cause l’inflammation dans les voies respiratoires. Si votre asthme est causé par des allergies et que les corticostéroïdes ne parviennent pas à maîtriser vos symptômes, votre médecin pourrait suggérer une immunothérapie sous forme d’injections ou un médicament injectable appelé omalizumab.

Les personnes atteintes d’asthme ont souvent besoin d’un traitement qui leur procure un soulagement immédiat. Les bronchodilatateurs à action rapide (par ex. le salbutamol, le formotérol ou la terbutaline) agissent rapidement pour détendre les muscles qui entourent les voies respiratoires et permettre de respirer plus facilement. Ces médicaments de secours soulagent les symptômes mais ne traitent pas la cause sous-jacente de l’asthme. Si vous employez votre médicament de secours plus que 4 jours par semaine (sans compter les doses utilisées avant une séance d’exercice), consultez votre médecin ou un autre professionnel de la santé. Vous pourriez devoir effectuer des changements en ce qui concerne vos médicaments.

L’asthme est difficile à prévenir, mais vous pouvez faire beaucoup pour atténuer ou éliminer ses symptômes.

Si votre médecin vous a prescrit un médicament préventif à utiliser quotidiennement, suivez fidèlement ses instructions. Si vous l’employez conformément à ses directives, le médicament devrait maîtriser l’inflammation de vos voies respiratoires et réduire vos symptômes d’asthme à la longue.

L’emploi de votre inhalateur

L’emploi de votre inhalateur vous demandera peut-être un peu de pratique. Demandez à votre médecin ou à un autre professionnel de la santé de vérifier votre technique d’inhalation. Si vous avez un aérosol-doseur, c’est-à-dire un inhalateur pressurisé, il se peut que le médecin recommande l’ajout d’un dispositif d’espacement qui s’ajuste à votre aérosol-doseur et qui facilite l’acheminement du médicament vers les poumons. Ce dispositif aide aussi à réduire certains effets secondaires des corticostéroïdes en inhalation. Les inhalateurs de poudre sèche (non pressurisés) n’ont pas besoin de dispositif d’espacement.

La tenue d’un journal où vous consignerez vos symptômes est un autre bon moyen de surveiller votre prise en charge thérapeutique de l’asthme naturelles contre l’asthme :

Source

Comment traiter l´asthme par les plantes?

certaines plantes peuvent s’avérer être d’excellents remèdes naturels pour soulager l’asthme.

Une alimentation riche en fruits et légumes

En moyenne, les personnes qui mangent beaucoup de fruits et légumes ont tendance à être en meilleure santé et à avoir une fonction pulmonaire plus saine. D’après une étude récente avec le Centre hospitalier universitaire vaudois sur des souris. La recherche montre que les souris ayant reçu une alimentation riche en fibres avaient moins d’infections des poumons en présence d’acariens que les souris n’ayant pas reçu cette alimentation. Profitez donc des produits de saison pour remplir votre assiette d’un arc-en-ciel de couleurs pour le meilleur mélange de vitamines et de minéraux.

Ajoutez des acides gras oméga-3

Il a été démontré que les acides gras oméga-3 essentiels, naturellement présents dans les poissons gras comme le hareng, le maquereau, le saumon, les sardines, le thon frais.. aident à réduire l’inflammation des poumons.

Faites le plein de magnésium

Le magnésium est nécessaire au bon fonctionnement des muscles et serait bénéfique pour les personnes asthmatiques en relaxant les muscles autour des bronches. Le magnésium se trouve dans de nombreux aliments : les céréales complètes (pâtes de blé entier, quinoa, riz brun), les noix (arachides, noix, noisettes, amandes), les graines (graines de citrouille, graines de sésame et de tournesol), les légumineuses (haricots au four, haricots rouges, pois chiches) et les fruits de mer (moules, maquereaux, saumon, sardines).

Autres plantes contre l´asthme 

La passiflore, la valériane, le plantain (Plantago major), le cassis, le khella, la lobélie, le réglisse, la nigelle, le tilleul, l’éphédra, la potentille, l’églantier, l’aubépine, la yerba santa, la viorne, le moringa sont  aussi des plantes sans huiles essentielles et qui agissent contre le spasme bronchique et l’allergie.

Quant aux plantes à huile essentielles qui peuvent être utilisées contre le spasme bronchique et l’allergie, on retiendra : la marjolaine, le romarin, le pin, l’ ail, le serpolet, le thym ou la lavande.

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