VIH SIDA: Causes, symptômes et remède naturel du VIH SIDA. Plantes naturelles contre le VIH SIDA. Découvrez ici comment traiter naturellement le VIH SIDA.
Nous joindre pour en savoir plus sur le remède naturel du VIH SIDA
Tout sur le VIH SIDA: Symptômes et remède naturel pour le VIH SIDA
Mots clés associés au remède naturel du VIH SIDA
Quelles sont les causes du VIH sida, Quelles sont les conséquences du VIH sida, Comment soigner le sida au naturel, quel est le symptôme du sida, recettes naturelles contre le VIH SIDA, plantes médicinales du VIH SIDA, quelles sont les causes et conséquences du VIH sida, quels sont les 13 signes du VIH sida, quels sont les boutons du VIH, comment reconnaître un malade du sida, quel est le traitement le plus efficace contre le VIH, Comment est la langue d’un séropositif, Comment guérir le sida naturellement, quel antibiotique pour le VIH, comment se guérir du sida, quel est le traitement le plus efficace contre le VIH, comment traiter le VIH SIDA, guérir naturellement le VIH SIDA
Qu´entendons-nous par le VIH SIDA ?
Le SIDA est l’abréviation de Syndrome d’Immunodéficience Acquise. C’est une maladie sexuellement transmissible, causée par un virus appelé VIH (HIV en anglais), ou virus d’immunodéficience humaine. Le VIH s’attaque au système immunitaire de l’individu, en particulier les lymphocytes T CD4, ce qui entraîne une vulnérabilité importante de l’organisme y compris face aux maladies habituellement bénignes et bien contrôlées par les cellules de défense de l’organisme.
Causes
Le virus se retrouve dans le sang, le sperme, le liquide vaginal et le lait maternel des personnes infectées. Le VIH est également présent dans la salive, la sueur et les larmes, mais en quantité insuffisante pour la transmission du virus Le VIH ne se transmet pas à la suite d’un éternuement, d’une poignée de main, d’un contact avec des sièges de toilette ou de piqûres de moustique.
Les rapports sexuels non protégés et l’échange de seringues sont les 2 modes d’infection par le VIH les plus courants en Amérique du Nord. Le VIH peut se transmettre au cours de relations sexuelles non protégées, qu’elles soient vaginales, anales ou orales. Bien que le risque d’infection par les relations sexuelles orales soit plus faible, il importe d’avoir quand même recours à une protection comme une digue dentaire (un carré de latex recouvrant le sexe ou l’anus) ou à un préservatif. Le VIH peut également se transmettre sous forme d’infection périnatale au cours de l’accouchement d’une femme infectée par le VIH. Le risque d’infection périnatale est toutefois en baisse grâce à de nouveaux traitements. Le VIH peut également se transmettre au cours de l’allaitement maternel.
Lorsque le VIH pénètre dans la circulation sanguine, il envahit des cellules dénommées lymphocytes CD4+essentielles à la réponse immunitaire. Le virus insère alors ses propres gènes à l’intérieur des cellules qu’il transforme en minuscules fabriques de nouvelles copies de son information génétique. Petit à petit, le nombre de virus augmente dans le sang tandis que celui des lymphocytes CD4+ sains diminue. La destruction de ces cellules entrave la capacité du corps à combattre les infections, le cancer et d’autres affections .
Symptômes et Complications
Les symptômes d’une infection par le VIH apparaissent entre 2 et 12 semaines après la contamination. Le virus infeste alors rapidement les cellules immunitaires du sérum sanguin. Les symptômes qui apparaissent au cours de cette phase ressemblent à ceux de la grippe, notamment :
- une diarrhée;
- de la fatigue ou de la faiblesse;
- une fièvre;
- des maux de tête;
- des douleurs articulaires;
- des sueurs nocturnes;
- une éruption cutanée;
- une augmentation du volume des ganglions;
- une perte de poids;
- des infections à levures (dans la bouche ou dans le vagin) persistantes ou fréquentes.
La personne touchée par le VIH est très contagieuse dès l’apparition des premiers symptômes. Ceux-ci disparaissent habituellement au cours de la semaine ou du mois qui suit, et la personne contaminée se sent de nouveau en pleine forme. Les symptômes peuvent toutefois réapparaître occasionnellement. Les symptômes de l’infection à VIH sont semblables à ceux des autres infections virales. Seul un test de séropositivité au VIH (sida) révèlera la présence du virus dans le sang. Après une infection par le VIH, il faut environ 3 semaines pour que l’on puisse détecter le virus dans le sang, quoique chez certaines personnes les anticorps ne deviennent pas décelables avant 3 mois. On appelle séroconversion la période pendant laquelle les anticorps se développent et apparaissent dans le sang. Après cette séroconversion, il est possible de détecter le virus au moyen d’une analyse sanguine.
Le système immunitaire tente de maîtriser le virus après la disparition des premiers symptômes. Le système immunitaire parvient à tenir le virus en échec durant un certain temps, mais il n’arrive pas à s’en débarrasser complètement. Un grand nombre de personnes se sentiront en pleine forme pendant des années avant que leur système immunitaire ne s’affaiblisse et que le sida évolue. En l’absence de traitement, le sida se développera dans les 10 ans qui suivent la contamination d’environ la moitié des personnes séropositives. Mais pour certaines personnes, le sida peut s’installer peu d’années après l’infection. Par contre, les personnes qui résistent plus longtemps à l’évolution du sida se classent parmi le groupe des non progresseurs à long terme. Rarement, certaines personnes que l’on désigne par le terme de « contrôleurs élites » peuvent maîtriser le virus pendant des décennies et semblent ne jamais contracter le SIDA. Plusieurs facteurs peuvent influencer la période de temps nécessaire au développement du SIDA, notamment la prise de médicaments, le patrimoine génétique, l’agressivité du virus et l’état de santé général et le mode vie de la personne.
Le terme « sida » désigne la forme la plus avancée de l’infection à VIH. On définit comme SIDA, le fait d’avoir contracté le VIH et certains types bien précis d’infections (infection « opportuniste ») souvent associée au SIDA. Cette infection peut être d’origine bactérienne, fongique, virale ou parasitaire. Parmi les infections opportunistes, on retrouve la toxoplasmose, la pneumonie à Pneumocystis jerovicii, la méningite cryptococcique, la leucoencéphalopathie multifocale progressive (LMP), le cryptosporidium, le cytomégalovirus et le complexe Mycobacterium avium (CMA). Grâce à l’utilisation de médicaments plus efficaces pour le traitement des infections à VIH, le risque d’infections opportunistes a été considérablement réduit avec les années; toutefois, les personnes atteintes du SIDA devront habituellement prendre des médicaments (comme des antibiotiques) pour prévenir les infections opportunistes.
Les personnes atteintes du SIDA qui ne reçoivent aucun traitement sont également plus susceptibles de contracter un cancer, en particulier un cancer du système immunitaire (lymphome). Une autre forme de cancer qui touche fréquemment les personnes atteintes de sida est le sarcome de Kaposi, un type de cancer qui cause des nodules d’un rouge bleuâtre dans les jambes et qui se propage au système lymphatique. Le cancer du col de l’utérus frappe particulièrement les femmes atteintes du sida. Les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes qui sont atteints du VIH possèdent également des taux plus élevés d’infection par le virus du papillome humain (VPH), un virus qui est associé au cancer de l’anus.
Les enfants atteints du sida contractent plus communément les infections infantiles habituelles comme la conjonctivite, l’otite moyenne et des angines, mais leurs symptômes sont bien pires que ceux des autres enfants.
Une perte de poids anormale, ou « syndrome du dépérissement », est un problème pour environ 20 % des personnes atteintes d’une affection par VIH. Elle est due à une perte inexpliquée d’au moins 10 % du poids corporel normal, elle est associée à une diarrhée chronique (persistant 30 jours ou plus), ou à une faiblesse chronique accompagnée de fièvre (persistant 30 jours ou plus).
La majorité des personnes touchées meurent des affections auxquelles le sida les a prédisposées en affaiblissant leur système immunitaire. Le virus infecte occasionnellement le cerveau et entraîne une démence qui empire progressivement.
Diagnostic
Si vous croyez avoir contracté le VIH, seul un test de séropositivité au VIH révèlera la présence du virus dans le sang. Il s’agit d’une démarche volontaire et vous pouvez choisir de la faire anonymement. Vos résultats resteront confidentiels. Vous pouvez subir un test de dépistage dans le cabinet de votre médecin ou dans une clinique de santé-sexualité dont un grand nombre sont dirigées par des unités de santé publique locales.
Le test de dépistage du VIH peut comporter 2 types d’analyses : un test préliminaire qui détecte les antigènes et les anticorps du VIH et enfin un test de confirmation. Si le premier test, qui nécessite un prélèvement sanguin détecte le virus, un deuxième test analysé en laboratoire doit être effectué pour confirmer la présence du VIH. Toutefois, si le test rapide est négatif, aucun examen supplémentaire n’est nécessaire.
Si l’infection à VIH est avérée, vous discuterez avec votre médecin des options thérapeutiques ainsi que des groupes de soutien et d’autres services susceptibles de vous aider à faire face à la situation. Vous devrez prévenir vos partenaires sexuels (passés, actuels et futurs) pour leur éviter de contracter le VIH ou pour les aider à obtenir un traitement s’ils ont été infectés Au Canada, les personnes infectées ne sont légalement tenues de divulguer leurs statut de positivité relative au VIH qu’en cas de probabilité « réaliste » (par ex. si on n’utilise pas de condom et que la charge virale est élevée au moment des relations sexuelles) et la plupart des autorités provinciales disposent de services à cet égard. Votre médecin, ou le ministère de la Santé de votre province, est en mesure d’aider vos partenaires en ce qui concerne les tests de dépistage et les traitements nécessaires .
Traitement et Prévention
Le VIH se soigne généralement au moyen d’une polythérapie antirétrovirale hautement active ou HAART (highly active antiretroviral therapy), une puissante combinaison de médicaments anti-VIH. La HAART ne guérit pas le VIH, mais elle permet de diminuer le nombre de virus présents dans le sang, de renforcer le système immunitaire et de ralentir l’évolution de l’affection. Une polythérapie comporte au moins 3 médicaments. L’emploi de plusieurs médicaments agissant d’une manière différente prévient la résistance du virus au traitement. Le risque de résistance augmente lorsqu’un plus petit nombre de médicaments est utilisé, quand une dose trop faible est donnée ou quand la prise des médicaments cesse, même pour une courte période.
Il importe beaucoup d’utiliser ce médicament conforméme nt aux indications du médecin. Si vous oubliez une dose, si vous prenez une dose plus faible que celle dont vous avez besoin ou si vous ne la prenez pas au bon moment, le traitement sera moins efficace. La synchronisation de la prise de vos médicaments, de vos repas et de vos activités quotidiennes peut poser un problème. Toutefois, le nombre des médicaments servant au traitement des infections par VIH a augmenté considérablement au cours des 5 dernières années, tout comme leur tolérabilité. Plusieurs d’entre eux sont maintenant disponibles en « présentations combinées » qui regroupent 2,3 ou même 4 médicaments distincts en un seul comprimé qui est pris une fois par jour. Votre médecin ou un pharmacien peut vous aider à trouver une façon d’adapter la prise de vos médicaments à votre routine quotidienne. Ils vous recommanderont peut-être d’utiliser un avertisseur ou un pilulier pour faciliter encore plus l’observance thérapeutique.
Lorsqu’une personne a contracté le SIDA, elle peut prendre un éventail de médicaments antibiotiques, antiviraux et antifongiques que d’autres personnes ne prennent que pour de courtes périodes de temps pendant qu’elles sont malades. Ces médicaments permettent de combattre les infections opportunistes. Lorsque le système immunitaire de la personne aura commencé à récupérer après le début HAART, le médecin arrêtera de lui administrer plusieurs de ces médicaments. Les personnes souffrant du syndrome de dépérissement peuvent obtenir des traitements adaptés à la cause de leur perte de poids importante. Des agents comme les hormones de croissance, les stéroïdes anabolisants et les stimulants d’appétit constituent des exemples de médicaments utilisés pour traiter ce symptôme.
De nombreux chercheurs travaillent activement à la mise au point de nouveaux traitements contre le VIH. L’information à cet égard évolue rapidement. Tenez-vous au courant en parlant à votre médecin ou à un pharmacien. Vous obtiendrez également des renseignements d’actualité et confidentiels sur le traitement du sida auprès de l’organisme CATIE (Réseau canadien d’info-traitements sida). Pour communiquer avec CATIE il vous suffit de composer le 1-800-263-1638, ou de consulter son site Web (www.catie.ca). Vous pouvez aussi vous renseigner auprès du ministère de la Santé qui vous fournira de l’information sur les programmes provinciaux et régionaux.
Personne n’est à l’abri d’une infection par le VIH. Il existe heureusement des mesures de prévention. Les principales stratégies permettant de prévenir une infection à VIH sont :
- Le port de préservatifs durant les relations sexuelles (qu’elles soient vaginales, orales ou anales).
- Le choix d’un plus petit nombre de partenaires sexuels.
- Le refus de réutiliser plusieurs fois des seringues ou d’autres ustensiles servant à l’administration de drogues.
Vous pouvez également envisager d’utiliser une prophylaxie pré-exposition (PrPE) permettant à une personne qui n’est pas infectée par le VIH de prendre une dose quotidienne de médicament anti-VIH pour prévenir l’infection.
À moins d’avoir une relation de couple exclusive (dans laquelle aucun des partenaires n’a de rapports sexuels avec une tierce personne) et d’avoir la certitude que ni vous ni votre partenaire n’est séropositif, ne manquez jamais d’utiliser un préservatif à chaque fois que vous avez des relations sexuelles. Dans certains cas, l’un des partenaires est infecté mais le couple, qui désire concevoir un enfant, par exemple, décide d’avoir quand même des rapports sexuels sans protection, faisant courir le risque d’infection à l’autre partenaire. Si c’est votre cas, abordez le sujet avec votre médecin. La maîtrise de l’infection à VIH chez le partenaire qui en est infecté, combinée à une PrPE pour le partenaire non infecté, peut considérablement réduire le risque de transmettre l’infection à l’enfant ou au partenaire non infecté. Si vous pensez avoir été exposé au VIH au cours des dernières 72 heures, consultez votre médecin ou votre pharmacien afin d’obtenir une prophylaxie post-exposition (PPE) dès que possible. Votre choix de partenaires sexuels a l’importance puisque parfois les préservatifs éclatent ou se mettent à fuir. Même si vous savez que vos pratiques sexuelles permettent de limiter au maximum les risques de transmission du VIH et que vous n’utilisez pas de seringues souillées, vous devez également ne pas manquer de vous assurer que vos partenaires sexuels, et les leurs, ont pris les mêmes précautions. L’échange de seringues est très dangereux et présente des risques élevés d’infection par le VIH.
Les personnes atteintes d’autres infections transmissibles sexuellement (ITS) comme l’herpès, risquent davantage de contracter le VIH durant des contacts sexuels, probablement en raison de minuscules déchirures faites à leur peau ou aux parois vaginales. En vous protégeant contre d’autres ITS vous réduirez votre risque d’une infection par le VIH, mais ces mesures ne suffiront pas à vous protéger contre cette infection. C’est la raison pour laquelle l’emploi des préservatifs est si important.
Si vous avez contracté le VIH, et si une grossesse advient, prévenez votre médecin. Le risque d’infecter le nouveau-né au cours de l’accouchement a baissé de façon spectaculaire grâce aux médicaments et, le cas échéant, à la pratique de la césarienne.
Remède naturel pour le VIH SIDA
Le citron
Des tests effectués en laboratoire démontrent que le jus de citron est efficace pour détruire le HIV (virus du SIDA) ainsi que les spermatozoïdes. Les expériences réalisées in-vitro démontrent qu’une solution contenant 10% de jus de citron réduit de 1000 fois l’activité du virus du SIDA. De plus, il a été démontré qu’un volume de jus de citron permettait l’inactivation de deux volumes de sperme.
La forte acidité du jus de citron serait responsable de son activité spermicide et virucide.
l’échinacée
Il existe des thérapies complémentaires ou alternatives qui ont comme propriété de stimuler le système immunitaire. Par exemple, bien des gens connaissent les vertus de l’échinacée comme stimulateur du système immunitaire et l’utilisent pour combattre un rhume ou une grippe
Pour en savoir plus sur ce traitement naturel du VIH SIDA, joignez M. Ganiou au +22962470328