939-Syndrome des ovaires polykystiques: Causes et traitement naturel des ovaires polykystiques

939-Syndrome des ovaires polykystiques: Causes et traitement naturel des ovaires polykystiques

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Qu’est-ce que le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) ?

Le terme « polykystique » signifie littéralement « qui contient de nombreux kystes ». Les kystes sont de petites poches emplies d’air, de gaz ou de liquide qui peuvent se former sur plusieurs parties du corps. On parle de syndrome des ovaires polykystiques lorsque les ovaires augmentent de volume à cause de la présence de plusieurs petits kystes. Cette maladie gynécologique endocrinienne chronique d’origine imprécise, mais avec probablement une composante génétique et environnementale, concerne essentiellement les jeunes femmes.

De nombreux symptômes sont présents dans ce syndrome qui s’expriment à différents degrés selon les femmes. Parmi les plus marqués, on observe une absence ou des troubles des cycles menstruels (métrorragies), une prise de poids voire une obésité, un hirsutisme, c’est-à-dire la présence excessive de poils (sur la poitrine, le ventre et le visage) et de l’acné. Il apparaît dans certains cas des troubles de la fertilité, allant jusqu’à la stérilité, liée notamment à l’anovulation, conséquence de l’interruption de la maturation folliculaire. Une perte de cheveux au niveau du sommet du crâne et des signes de virilisation sont aussi possibles mais plus rares. Dans certains cas des taches foncées sur la peau de la nuque, sous les bras et dans la région de l’aine (à l’intérieur des cuisses), appelées « acanthosis nigricans » peuvent apparaître.

Quelles sont les causes ?

Cette pathologie semble être de cause hormonale puisqu’un déficit en hormones lutéinisantes et un excès d’androgènes, hormones masculines, sont majoritairement retrouvés. Il existe un lien entre le syndrome des ovaires polykystiques et le syndrome de résistance à l’insuline, hormone sécrétée par le pancréas. Elle est ainsi responsable du diabète lorsqu’elle est de mauvaise qualité ou fabriquée en quantité insuffisante.

Devant une acné, des troubles du cycle menstruel, une pilosité excessive ou des difficultés à concevoir, une consultation auprès du médecin traitant ou du gynécologue est nécessaire, ainsi que certains examens complémentaires (échographie abdominale, prise de sang) pour rechercher le diagnostic de SOPK.

comment diagnostiquer le syndrome des ovaires polykystiques ?

On parvient généralement à poser le diagnostic de syndrome des ovaires polykystiques en combinant les résultats de l’interrogatoire et ceux des examens complémentaires. On pratique notamment un bilan sanguin, qui permet d’observer les taux d’hormones, notamment l’hormone lutéinisante, ou LH, qui augmente de façon variable. Les androgènes sont également dosables et peuvent être au-dessus de la normale. À cette prise de sang, des examens s’ajoutent, telle une échographie qui montre la présence des kystes au niveau des deux ovaires et l’augmentation du volume de ces organes qui en découle.

Quels sont les traitements ?

Traitements médicamenteux

À ce jour, aucun traitement ne permet de guérir du syndrome des ovaires polykystiques. Toutefois, un traitement médicamenteux peut être prescrit pour régulariser le cycle menstruel, et diminuer la croissance des poils et de l’acné. Les différentes options sont discutées avec le gynécologue :

  • Un traitement hormonal contraceptif peut être prescrit pour corriger le déséquilibre hormonal en abaissant le taux de testostérone (qui permettra de réduire l’acné et la croissance des poils) et en régularisant le cycle menstruel. Il permet aussi de réduire le risque de cancer de l’endomètre (qui est légèrement plus élevé chez les jeunes femmes qui n’ovulent pas régulièrement).
  • La Metformine est utilisée pour diminuer le taux d’insuline sanguin, en particulier chez les patientes ayant un taux d’insuline élevé avec un pré-diabète ou un diabète. Les deux traitements Metformine et pilule contraceptive peuvent être combinés.
  • Le traitement de l’acné sous forme de crèmes locales, antibiotiques par voie orale et autres médicaments.

 Quelles plantes pour le syndrome des ovaires polykystiques?

Il est possible d’améliorer l’état de santé général des femmes avec des ovaires polykystiques avec les plantes. En médecine douce, la phytothérapie peut, en effet, soutenir les patientes.

Réguler les hormones est l’un des piliers pour lutter contre les ovaires polykystiques. Au travers de plusieurs essais cliniques, des scientifiques ont mis en évidence les bienfaits de.

  • La curcumine, une molécule présente dans le curcuma, est également une plante proposant des bienfaits intéressants sur les troubles du syndrome des ovaires polykystiques. Grâce à son pouvoir anti-inflammatoire, le curcuma réduirait efficacement le volume et le nombre de follicules ovariens. L’inflammation des cellules diminue, tout comme la glycémie.

 

  • Le gattilier est aussi une plante naturelle conseillée. Cette baie, connue sous le nom de “poivre des moines”, était autrefois utilisée par les religieux afin de calmer la libido et pour mieux supporter le vœu de chasteté. Aujourd’hui, le gattilier a révélé des effets positifs sur les cycles menstruels. Associée à d’autres plantes, cette baie favoriserait les chances de tomber enceinte chez les femmes atteintes des ovaires polykystiques en régulant les taux hormonaux et en stimulant l’ovulation.
  • Fenugrec, cette plante légumineuse aux vertus médicinales, en particulier ses graines, ont fait leurs preuves sur plusieurs symptômes des ovaires polykystiques chez 50 femmes participant a une étude. Parmi les améliorations notables, citons un état des cycles menstruels, une réduction du nombre de petites follicules sur les ovaires visibles lors de l´échographie ainsi qu´une meilleure régulation des taux d´insuline

Il est possible de consommer des phytoestrogènes, qui sont des œstrogènes présentes dans les végétaux. L’œstrogène est un anti androgène naturel qui permet de lutter contre l’excès d’hormones et qui augmente les fréquences d’ovulation. Les phytoestrogènes, présents dans la réglisse ou le soja, ont donc des propriétés intéressantes pour les femmes aux ovaires polykystiques désireuses d’avoir un enfant.

Par ailleurs, les feuilles de framboisiers consommées en infusion soulagent les douleurs de règles, grâce à leur puissante action naturelle antispasmodique.

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Quel régime alimentaire pour lutter contre les ovaires polykystiques ? 

Le choix d’une alimentation saine fait aussi partie des solutions naturelles pour lutter contre le SOPK. Effectivement, le surpoids et l’obésité sont des facteurs pouvant être impliqués dans la survenue des ovaires polykystiques. Une alimentation industrielle peut, à l’inverse, influencer la survenue du SOPK. Une perte de poids d’environ 5 à 10 % semble suffire pour limiter l’hyperandrogénie et augmenter les chances de tomber enceinte avec un SOPK. Même si maigrir pour les femmes qui ne sont pas en surpoids n’apporte pas de bénéfice, il est recommandé d’améliorer son hygiène alimentaire.

 

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