929- Chaude- pisse: causes, symptômes et traitement naturel

928 Chaude- pisse: causes, symptômes , et traitement naturel

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Chaude- pisse: causes, symptômes , et traitement naturel

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 Gonorrhée ou chaude pisse : définition

La gonorrhée, communément appelée « chaude-pisse », urétrite, gonococcie ou encore blennorragie, est une infection sexuellement transmissible ou IST, attribuable à la bactérie Neisseria gonorrhoeae. Elle est en recrudescence en France depuis 1998, comme la plupart des IST.

La gonorrhée est plus souvent détectée chez les hommes que chez les femmes. Ceci peut s’expliquer par le fait que chez les hommes, elle entraîne des signes évidents alors que chez plus de la moitié des femmes, cette infection n’entraîne aucun signe visible. Les personnes les plus touchées par le diagnostic de cette IST sont :

  • les jeunes femmes de 16 à 25 ans.

Elle peut toucher :

  • le pénis ;
  • le vagin ;
  • l’urètre ;
  • le rectum ;
  • la gorge ;
  • parfois les yeux.

Chez les femmes, le col de l’utérus peut également être endommagé.

Au Canada, le nombre de nouveaux cas de gonorrhée a plus que doublé depuis 10 ans et la proportion de cas résistants aux antibiotiques est en constante augmentation.

Quelles sont les causes de la gonorrhée ou de la chausse-pisse ?

La gonorrhée se transmet avec un partenaire infecté, par l’échange de liquides biologiques et le contact des muqueuses, lors de relations sexuelles non protégées :

  • orales ;
  • anales ;
  • vaginales.

Elle est rarement transmise par cunnilingus.

La chausse-pisse peut aussi être transmise au nouveau-né par sa mère infectée pendant l’accouchement, provoquant une infection oculaire.

Quels sont les symptômes de la chausse pisse ou la gonorrhée  ?

Les signes de gonorrhée se manifestent habituellement de 2 à 5 jours après le moment de l’infection chez l’homme mais ils peuvent prendre aux alentours d’une dizaine de jours chez la femme, sans doute parfois davantage. L’infection peut apparaître au niveau :

  • du rectum ;
  • du pénis ;
  • sur le col de l’utérus ;
  • dans la gorge.

Chez les femmes, l’infection passe inaperçue dans plus de la moitié des cas, n’entraînant aucun signe particulier.

L’évolution la plus fréquente d’une urétrite gonococcique, non traitée chez l’homme, est la disparition des symptômes. Ceux-ci peuvent disparaître chez plus de 95% des hommes dans un délai de 6 mois. L’infection persiste pourtant, aussi longtemps qu’elle n’est pas traitée. En l’absence de traitement ou en cas d’échec, le risque de transmission subsiste, et fait le lit de complications ainsi que de séquelles.

Gonorrhée chez l’homme

Les signes de la gonorrhée comprennent :

  • un écoulement purulent et jaune verdâtre par l’urètre ;
  • des difficultés à uriner ;
  • une sensation de brûlure intense en urinant ;
  • un picotement au niveau de l’urètre ;
  • une douleur ou un gonflement au niveau des testicules ;
  • des douleurs ou écoulements du rectum.

Un homme, présentant ces signes, doit en parler à sa partenaire, car elle peut ne présenter aucun signe, même si elle est porteuse de la bactérie.

Et dans 1% des cas, les hommes présentent peu ou aucun de ces signes.

Gonorrhée chez la femme

Entre 70 et 90% des femmes ne présentent aucun signe de gonorrhée ! Lorsqu’ils existent, ces symptômes se confondent souvent avec ceux d’une infection urinaire ou vaginale, à savoir :

  • écoulement vaginal purulent, jaunâtre ou parfois sanguinolent ;
  • irritation vulvaire ;
  • saignement vaginal anormal ;
  • douleurs ou pesanteurs pelviennes ;
  • douleurs lors des relations sexuelles ;
  • sensations de brûlure en urinant ;
  • difficulté à uriner.

En cas de rapports sexuels non protégés, il faut faire un dépistage, associé au dépistage de chlamydiae.

Complications possibles de la gonorrhée

Chez l’homme

La gonorrhée peut provoquer une inflammation de la prostate , ou des testicules ou épididymite, pouvant entrainer l´infertilité

La chausse pisse augmente également les risques de transmission du VIH.

Par ailleurs, un nouveau-né infecté par sa mère peut souffrir de graves problèmes oculaires ou d’infections sanguines voire une septicémie.

Complications de la gonorrhée chez la femme

Chez la femme, une gonorrhée peut entraîner une maladie inflammatoire pelvienne, c’est-à-dire une infection des organes reproducteurs que sont :

  • les trompes de Fallope ;
  • les ovaires ;
  • l’utérus.

Elle peut :

  • être la cause d’une infertilité ;
  • accroître le risque de grossesses extra-utérines ;
  • être à l’origine de douleurs pelviennes chroniques.

Inflammation des glandes de Bartholin

Chez la femme, les complications les plus fréquemment observées sont :

  • une inflammation des glandes para-urétrales et des glandes de Bartholin ;
  • une infection de l’utérus ou endométrite ;
  • une infection des trompes ou salpingite, évoluant souvent sans provoquer de signes particuliers.

Par la suite, lorsque l’infection évolue, peuvent survenir :

  • des douleurs pelviennes ;
  • une infertilité ;
  • des risques de grossesse extra-utérine.

Cela est dû au fait que les trompes peuvent se trouver bouchées par l’infection à gonocoque.

Certaines études montrent qu’entre 10 et 40% des infections gonococciques du col de l’utérus ou cervicites gonococciques non traitées évoluent vers une atteinte inflammatoire pelvienne. Cependant, aucune étude longitudinale permettant d’évaluer le pourcentage de gonococcies donnant lieu aux principales complications, et notamment, le risque de stérilité, ne permet de le chiffrer en France.

Infection des trompes

Par comparaison avec l’infection à Chlamydia trachomatis, les complications liées aux gonococcies sont moins fréquentes. Toutes deux peuvent, cependant, entraîner :

  • une infection des trompes ou salpingite ;
  • avec un risque de stérilité ;
  • et de grossesse extra-utérine.

Les formes généralisées de gonococcie sont rares. Elles peuvent se présenter sous la forme d’une septicémie subaiguë, c’est-à-dire d’une circulation de bactéries de type gonocoques dans le sang, et peuvent s’accompagner d’atteintes de la peau.

Les gonococcies disséminées peuvent aussi se manifester sous la forme d’atteintes ostéoarticulaires telles que :

  • une polyarthrite subfébrile ;
  • une arthrite purulente ;
  • une ténosynovite, c’est-à-dire une inflammation du tendon et de la gaine synoviale.

Les personnes à risque de la gonorrhée ou de la chaude pisse

Les personnes à risque de la chaude pisse sont :

  •  hommes ayant des rapports avec d’autres hommes ou HSH sont une population à haut risque ;
  • les personnes ayant plus d’un partenaire sexuel ;
  • des gens ayant un partenaire ayant d’autres partenaires sexuels ;
  • les personnes utilisant de manière inconstante les préservatifs ;
  • personnes de moins de 25 ans ;
  •  hommes, femmes ou adolescents sexuellement actifs ;
  • les personnes ayant déjà contracté une infection sexuellement transmissible ou IST dans le passé ;
  • les personnes séropositives pour le VIH, ou virus du SIDA ;
  • les travailleurs du sexe ;
  • les utilisateurs de drogues ;
  • les personnes incarcérées ;
  • les personnes allant aux toilettes sans se laver les mains systématiquement : dans ce cas, le risque de gonorrhée oculaire est plus important.

Quand consulter pour une chausse pisse ou gonorrhée ?

Il convient de consulter un médecin pour passer des tests de dépistage dans les cas suivants :

  • après une relation sexuelle à risque non protégée ;
  •  cas de signes d’infection génitale ;
  • en cas de brûlures en urinant chez l’homme.

  Quels traitements utilisés contre la chausse-pisse ou la gonorrhée?

Le traitement de la gonorrhée repose sur la prescription d’antibiotiques. Parce que de nombreuses souches de gonocoques sont devenues résistantes aux antibiotiques les plus courants, il arrive que le médecin fasse un prélèvement pour rechercher l’antibiotique le plus efficace. Les personnes ayant une gonorrhée sont systématiquement traitées contre les chlamydies car ces deux infections sexuellement transmissibles sont souvent associées. Une visite de contrôle est recommandée une semaine après le traitement.

Les traitements par plantes antibiotiques sont parfois les plus souhaités pour leurs efficacités et leurs vertus naturelles.

Comment traiter la Chaude-pisse avec le clou de girofle, l´ail, la plante de néré ?

Il est d’ailleurs recommandé de boire beaucoup d’eau pour faire disparaître l’infection urinaire. Dans une grande tasse d’eau chaude où infuse votre thé/tisane, vous pouvez verser 1 goutte d’huile essentielle de Clou de Girofle, préalablement diluée dans une cuillère de miel ou de sucre

Pour en savoir plus sur ce traitement naturel, joignez M. Ganiou au +22962470328

Quels sont les antibiotiques recommandés contre la chaude-pisse  ?

Le traitement des infections à gonocoques repose habituellement sur l’administration d’une céphalosporine en dose unique : soit la ceftriaxone par voie injectable, soit la céfixime par voie orale. Dans certains cas particuliers, un traitement plus long peut être indiqué.

Du fait de l’émergence de nombreuses souches résistantes aux quinolones, cette famille d’antibiotiques n’est plus prescrite qu’après le résultat de l’antibiogramme.

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